Sex education, la saison 2 est sur Netflix ! (avis)
On se rappelle tous de Sex education, cette série Netflix qui brise avec humour les tabous sur la sexualité adolescente. Et met en avant la nécessité d’aborder tous les sujets. Et bien c’est reparti pour une saison 2.
Toujours des moments hilarants
De retour donc dans une petite ville anglaise et son lycée. Otis sort avec Ola, Maeve a été renvoyée, Eric s’assume de plus en plus…
Et la saison commence fort avec un premier épisode hilarant mettant en avant les méconnaissances sur les MST, la masturbation, sans compter les moments gênants, pas forcément liés à la sexualité, mais plutôt aux relations adolescentes en général.
On retrouvera tout au long de la saison ces situations drôles, souvent liées à la gêne des adolescents qui se cherchent et découvrent de nouvelles choses.
Et celles qui sont surement les stars de cette saison sont les femmes. Adultes comme adolescentes s’entraident, comprennent que le plaisir féminin est autorisé, essayent d’évoluer. C’est notamment peut être une des première série qui parle ouvertement de masturbation féminine ou encore de « fingering ».
Pour parler de sujets très sérieux.
Cette seconde saison aborde donc de nouveaux sujets, toujours avec à la fois un humour décomplexé et un sérieux et un respect de chacun. On parlera donc de MST, d’orientation sexuelle, du plaisir féminin, d’agression sexuelle… Sans compter les relations complexes entre les adultes et les adolescents qui essayent chacun de se comprendre.
Les personnages, tous très attachants et joués à la perfection par les jeunes acteurs comme les plus âgés, sont développés encore plus durant cette saison. Comme Jean qui redécouvre ce que c’est d’être dans une vrai relation, Eric qui se sent à l’aise et accepté, ou encore Adam qui essaye de s’accepter lui-même.
Sex education est une série réellement drôle, bien écrite, et surtout utile pour parler de sujets réels qui sont trop peu souvent abordés. Alors je vous conseille vivement de binge watcher cette série qui en vaut vraiment la peine.
